A l’occasion du salon international de l’automobile qui a lieu à Genève du 5 mars au 15 mars, tout le monde parle des voitures du futur. En dépit de l’absence des produits Apple et Google à ce salon ouvert au public, on ne parle que de ces constructeurs.
A l’occasion du salon international de l’automobile qui a lieu à Genève du 5 mars au 15 mars, tout le monde parle des voitures du futur. En dépit de l’absence des produits Apple et Google à ce salon ouvert au public, on ne parle que de ces constructeurs.
Google travaille depuis un long moment sur une voiture connectée et a révélé un récent prototype en décembre. Son concurrent Apple est aussi sur ce terrain, le mois dernier on a appris que le constructeur développé lui aussi la voiture de demain.
Vu les moyens matériels et financiers dont disposent les deux géants américains, il se pourrait bien que le marché automobile soit bousculé par leur oeuvre. Il faut dire que Mercedes avait pris les devants en travaillant sur une voiture sans chauffeur capable d’éviter les obstacles et les piétons. C’est aussi le concept de la voiture électrique de Google.
Seulement, l’arrivée de la firme à la pomme et son concurrent peut avoir du positif comme l’explique Guillaume Crunelle: leur arrivée sur le marché sera « un accélérateur pour toute l’industrie, qui va forcer les autres à innover » : Apple « ne vendra pas forcément énormément de voitures », mais « proposera une vision de l’automobile qui sera prise en considération ».
Jean-François Belorgey estime que « ce sont des gens qui sont assis sur des tas d’or. Ils peuvent se permettre d’essayer des choses au risque de ne pas réussir ».
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